Les plexis sont a accrocher dans le vide a une vingtaine de cm pour jouer avec la transparence et les ombres portées sur le mur.
« Paysage de croix »… jusqu’à la transparence.
encres sur feuilles : 24x8cm (x44); 36x49cm ; 50x50cm
Sur plexi :
rectangulaire 100x50cm
tondo 100 cm diam
CRUCI – FORME
La pointe du cruciforme.
Ses quatre pleins et quatre creux nous en informent à leur échelle, la croix est le meilleur moyen de fixer le corps.
Surtout s’il est d’image masculine.
Passsage du crucifix au crucifils par accord universel, lequel ne cèdera pas totalement sur le crucifille.
C’est que La femme ne se croiX pas.
A son endroit, le cruci de sa forme ne peut que s’imaginer autre.
Autre que celui proposant les quatre directions majeures.
Imajeuraire jusqu’à l’incandescence.
Où l’indécence de l’insaisir informe, la satrape, de ne pas en être informée.
Seulement crue si fiable.
Lors elle se désoriente et façonne à la main de son anarrimage la dot de ses alter natives.
Un corps encore, par une écriture il-lisible pour pouvoir conner en paix ?
Un autre corps par des formules mathémagiques la déclassant du périodique ?
Déliant la prise aux quatre bouches elle se méprise aux quatre vents et chevauchant la carcasse du savoir elle lui temps le sabir qu’il espère.
Crue si fiXion.
C’est à ce croisement, songe, que son coursier pourri emplira caisses de raisonnances.
tandis que l’amazone, rehaussée de sa perte, accueillera l’ab-sens dévissant de la croix.
La forme de son choix.
Jean-Thibaut Fouletier
Die, le 08/08/2017